J’ai longtemps hésité de la manière dont il fallait que j’aborde ma critique de Hyper Princess Pitch et j’ai donc opté pour la création d’une nouvelle série d’articles. En effet, comme vous le savez peut-être, j’ai pour l’instant quatre catégories d’articles “critiques” sur les jeux vidéo. L’un est le classique “Test/Avis” : C’est le plus commun, celui que vous voyez le plus souvent. Il est intégralement dédié aux “gros” jeux, qu’ils soient indépendants ou AAA, et que j’ai fini ou pour lesquels je me suis jugé assez proche de la fin pour en parler sans approximation. Le second format, que j’ai pas mal prisé la première année de lancement du blog, intitulé “Premières Impressions” est, comme son nom l’indique, une catégorie d’articles s’apparentant dans le fond au banal “Test/Avis”. Sauf que comme je déteste juger un jeu sans l’avoir fini ou presque, j’avais décidé d’être honnête et de préciser le fait que l’écrit publié était un premier avis non définitif. Vint ensuite le dernier format “Pause Flash” ,qui présente en majorité des jeux provenant de sites comme browsergames.fr , et sa dérivée “Quand on s’ennuie sur Windows Phone”. Bref, vu que je ne savais pas où inclure ce nouveau jeu, j’ai décidé de créer un nouveau type d’articles. Proche d’un “Premières Impressions”, celui-ci s’en différenciera par le fait qu’il sera (normalement) beaucoup plus court et superficiel dans sa manière d’aborder le jeu. Et on commence tout de suite parce que vous devez déjà en avoir marre de me lire en train de parler de quelque chose dont à peu près tout le monde se fout.
Hyper Princess Pitch, c’est un remake d’un jeu DOS sorti en 1996 sous le nom de Operation Carnage. Produit par un certain Daniel Remar, le jeu a été développé à l’aide d’un outil de création de jeux nommé Game Maker (D’ailleurs, si vous avez des tutos vidéos, je ne serai pas contre… J’arrive pas à me concentrer quand je lis des PDF é_è). On connaît tous le principe du shoot’em-up, ces jeux requérant une adresse et une concentration sans failles où le joueur devra venir à bout d’une multitude de monstres en esquivant leurs projectiles pour finir face à des boss aux patterns minutieusement réglés que le joueur devra anticiper pour espérer sortir victorieux de ce combat (Vous pouvez respirer !). Et bien Operation Carnage et a fortiori sa version remasterisée, a développé le concept pour en faire un shooter multi directionnel. En effet, dans un shoot’em up classique, le joueur suit un parcours prédéfini (Type scrolling horizontal ou verticale), or, dans Hyper Princess Pitch, vous shooterez dans toutes les directions. C’est ainsi que votre personnage devra parcourir et nettoyer des salles entières où des vagues de monstres se bousculeront pour réduire votre barre de vie à néant.
Graphiquement, le créateur a été fidèle à Operation Carnage et HPP arbore donc un style résolument rétro accompagné de sprites bien carrés comme se devait d’afficher tout bon jeu PC des années 90. Le gameplay est simple et ça se joue très bien à la manette. On dispose de trois armes différentes ,dont une illimitée (Normal), pour abattre nos ennemis. Sachez, avant de conclure, que le jeu est évidemment gratuit et se trouve au milieu de quelques autres jeux du même développeur.
Pour finir et parce que je trouve que le principe de Fast Test ne permet pas au lecteur de réellement se donner une idée bien définie du jeu évalué, j’ai choisi d’enregistrer une séquence de gameplay de ce jeu et de la mettre en ligne sur Youtube. Je vous avais auparavant parler de l’ouverture d’une chaîne vidéo pour y stocker des gameplays et illustrer des articles, voila qui est fait. La vidéo ainsi présentée représente le tout premier niveau d’Hyper Princess Bitch et ce jusqu’au premier boss. J’espère prochainement vous mettre en ligne du contenu avec plus de “valeur ajoutée” comme des vidéos commentées qui enrichiront les prochains articles du blog ou même des avis rapides et exclusifs à la chaîne YouTube, bref, trêve de blablas :
Retrouvez Hyper Princess Pitch en téléchargement sur cette page.
J’adore ta façon d’écrire ! Pour quelqu’un qui n’a que 19 ans, chapeau ! Merci pour l’article. Spelunky me semble effectivement intéressant !