C’est une fille qui retrouve le chemin de sa maison après des années durant lesquelles le monde la croyait disparue, captive, et aveugle. C’est des cheveux blonds, des cicatrices, un regard vague, et une histoire à partager.
The OA, c’est une série, courte. Huit épisodes. The OA c’est un pilote fascinant, c’est certains épisodes qui donnent moins envie que d’autres de continuer. Mais on continue. Pour Prairie, pour la thérapie que The OA procure, parce que chaque personnage sort de l’ordinaire. Parce que de ce groupe plus qu’hétéroclite émerge l’envie d’apprendre. L’envie d’apprendre à quoi ressemble la vie de ces personnes si éloignées de celles que l’on fréquente dans la vie courante. Cette vie courante qui se retrouve bouleversée par cette fille que le monde croyait disparue.
Cette fille que le monde croyait disparue. Cette fille qui rassemble. Cette fille qui supporte, qui entend autant qu’elle écoute. Cette fille qui soigne, qui donne un sens aux vies. The OA c’est une thérapie au travers d’une thérapie. The OA c’est le groupe de soutien auquel vous souhaitez participer avant tout pour écouter.
The OA, c’est un cercle. C’est une course c’est l’histoire de la poursuite d’un rêve. C’est personnel, c’est enfoui au sein de soi.
The OA c’est des derniers épisodes qui prennent aux tripes. Ces derniers épisodes qui redéfinissent un genre et l’intensité émotionnelle qu’une histoire peut véhiculer. Cette ambiance surréaliste, rattrapée par la réalité. Cette ambiance surréaliste qui transcende notre simple écran et s’invite chez nous.
Tout n’est qu’immersion. Rejoignez The OA. Faites le s’il vous plaît. The OA possède tout pour vous transporter autant que cette fille a transporté son entourage.