Ca pourra perturber certaines personnes, mais je me suis décidé à publier un article sans lien avec le JV. C’est article est une critique d’un animé qui m’a particulièrement touché et que j’ai vraiment apprécié. Si vous appréciez le domaine, n’hésitez pas à lire ce billet, si vous n’en avez rien à faire, vous pouvez passer ^^
Bon, pour ceux qui ont la… “Chance, de me suivre sur Twitter, vous aurez pu remarquer que je ne suis pas insensible à la culture nippone et que je regarde de temps en temps des animés. Pour parler de mes goûts, je cherche majoritairement des animés courts, dont l’intrigue est finie (Pas encore en court d’écriture quoi). A titre informatif, j’ai commencé par Death Note, j’ai ensuite regarder Code Geass, Tsubasa, Soul Eater, Neon Genesis Evangelion, et le dernier en date, c’est Elfen Lied, miraculeusement conseillé par un twittos.
Dans le genre court, Elfen Lied, est pas mal, constitué de seulement 13 épisodes de 25 minutes et 12 volumes dans sa version manga, on peut dire que la série est courte. Courte, mais intense. Elfen lied est classé dans les animés ecchi (pas mal de scènes de nus), drame, et horreur (C’est très gore sur certains passages). Derrière le côté gore et sexuel de la série se cache en effet une véritable intrigue dramatique, très bien ficelée et qui tient en haleine le spectateur pendant les 13épisodes sans interruption.
Le personnage principal, Kouta (Kota dans le manga) a une identité bien propre à lui, adolescent privé de son père et de sa petite soeur dans des circonstances mystérieuses lors de son enfance, celui-ci ré-emménage dans la vill du drame, et se relie d’amitié avec sa cousine, qu’il avait perdu de vue depuis huit ans. En parallèle de ce drame familial, on apprend qu’une espèce mutante, les diclonius, physiquement d’apparence humaine, possèdent des bras “extensibles” d’une puissance hors-normes, capable de casser/soulever/trancher n’importe quoi. C’est donc la rencontre entre Kouta et un diclonius échappé du centre d’examen que contera l’histoire pendant ces épisodes. Les personnages ont chacun un caractère bien propre et des principes bien à eux.
Pour les dessins, ils peuvent paraître simplistes à certains moments, mais les gros plans sur les personnages sont plus détaillés et l’accent est mis sur l’expression des yeux et l’émotion du personnage (Beaucoup de rougeurs, jalousie, rires, etc.). En bref, le style de dessin n’est pas révolutionnaire mais concorde parfaitement à l’univers et aux conséquences des actes des personnages (Références aux scènes gores.)
Concernant l’ambiance, celle-ci est parfaitement gérée, l’alternance des scènes de charcuterie, celles de découverte de personnages, l’avancement dans le scénario, tout s’emboîte parfaitement. Vous serez choqué par moment, d’autres scènes vous feront sourire, dans l’ensemble, soit c’est très noirs, soit c’est très blanc.
Vraiment, pour les 13 épisodes que compte cette série, je vous conseille vivement de vous la procurer et de les visionner. C’est une expérience très émouvante de la scène animée nippone qui vaut vraiment le coup.
PS : Si le premier épisode vous rebute, insistez, l’histoire qui est derrière vaut vraiment le coup.
Je vous laisse avec l’opening, qui est juste magnifique …
Écrit par Yaniss GunxBlast